Dernières Nouvelles d’Alsace, by J.-M.Z.

octobre 2013

alors manquent les mots…Exigence de maîtrise, de sensibilité, de nuances !…l’exceptionnel fut là…la virtuosité, la générosité…Il y eut aussi cette chorégraphie des corps, de l’archet dont les crins jouèrent les filles de l’air, même la partition chuta de son lutrin, tant la force, l’engagement presque la violence des coups d’archet et de l’expression du jeune violoniste possédèrent l’oeuvre d’Enesco…
Étrange impression de vivre un moment rare avec un Virgil Boutellis-Taft déjà habitué à l’excellence.