Presse
Blogcritics.org, Jon Sobel
A transportive and deeply felt reading. The violinist’s formidable double-stopping, along with his technique of striking the string hard enough to generate distortion, magnified the pathos
CLASSICA, Alain Duault
« Ce qui s’impose d’abord chez Virgil Boutellis-Taft, c’est la plénitude d’un son chaud et pur, élégant et sensuel, qui déploie à merveille l’intensité expressive du Kol Nidrei de Bruch ou du Nigun de Bloch […] Un disque avec lequel vivre. » – Alain Duault
Classique News, Sabino Pena Arcia
Un album absolument enchanteur d’un jeune violoniste prometteur, à réécouter sans modération !
THE STRAD, Julian Haylock
Un jeu personnel et intériorisé qui sied parfaitement à un programme de récital mémorable…
CLASSICAL POST, Anna Heflin
Through Incantation, the violin sings again in an unfurling of seemingly contradictory emotions which are all centered around melancholy…
UTMISOL, Jean Jordy
Tous reconnaîtront une évidence: Virgil Boutellis-Taft, pour ce deuxième disque, confirme qu’il est un très grand violoniste. Il réunit sept pièces de compositeurs, d’époques, de cultures, de climats différents et les fait vibrer, ricaner, méditer, prier avec un lyrisme frémissant. Si Incantation il y a, chant et mystère procèdent du jeu virtuose et touchant du jeune soliste français conjuguant chaleur et élégance, rigueur et engagement, élan et concentration…
CLASSICA, Jacques Bonnaire
Beaucoup d’intensité affective mais aussi de sobriété dans l’émotion…
RADIO KLASSIK, Michael Gmasz
C’est une puissante sonorité et cependant un son très chaud et velouté que Virgil Boutellis-Taft tire de son violon Montagnana. Et quand j’ai évoqué au début les habituelles autres œuvres virtuoses – les morceaux de musique choisis ici ne sont pas moins virtuoses, mais d’une manière différente!
CLASSICAL CANDOR, John J. Puccio
En ouverture de l’album, le Kol Nidrei… a un caractère magnifiquement lyrique, et Boutellis-Taft l’investit avec beaucoup de personnalité… De ce grand classique, le soliste crée une nouvelle approche rafraichissante. Et il en va ainsi pour la suite, Boutellis-Taft conférant à chaque œuvre beaucoup de raffinement expressif et de beauté…
LEXNEWS.FR
Le violon enchanteur de Virgil Boutellis-Taft (un Domenico Montagnana Venise 1742) convoque sentiments et thème slave en un touchant dialogue avec l’orchestre brillamment conduit par Jac van Steen…
ON-MAG, Jean-Pierre Robert
Un parcours qui ose imposer la réflexion et une calme lenteur dans un monde plus préoccupé de mouvement et d’immédiateté …
PIZZICCATO, Rezension von Uwe Krusch
Le jeu du violoniste français Virgil Boutellis-Taft impressionne par sa grande sonorité et beaucoup d’expression, sans aucune exagération. Ainsi, l’intensité de son jeu ne met jamais en danger le caractère particulièrement réfléchi et intime des pièces. Le Royal Philharmonic Orchestra et son chef d’orchestre Jac van Steen sont en totale harmonie avec le soliste et offrent un accompagnement sensible…
CONCERTONET.COM, Christie Grimstad
Le violoniste montre à quel point il est doué pour conduire patiemment la musique jusqu’à un état d’anxiété et de déchirement : plein de vitalité et de tension, Virgil Boutellis-Taft semble avoir la liberté la plus débridée pour jouer Tomaso Antonio Vitali. Boutellis-Taft n’amplifie jamais l’emphase du texte et apaise à l’intérieur d’un halo d’une habile retenue…
GANG-FLOW, Anne-Sandrine Di Girolamo
Virgil Boutellis-Taft dévoile les pouvoirs incantatoires de son violon. En un programme où la musique dévoile ses pouvoirs magnétiques et ensorcelants, ce disque Aparté révèle le travail d’un virtuose qui transforme l’heure d’écoute en un instant de pure rêverie…
FRANCE MUSIQUE Rodolphe Bruneau-Boulmier
Mi poème symphonique, mi concerto, ces œuvres séduisent par leur lyrisme et Virgil Boutellis-Taft ne manque pas de lyrisme, ni de poésie. C’est un disque exigeant, assez intérieur aussi et comme c’est un coup de cœur, c’est le disque du jour sur France Musique…
CLASSICAL MUSIC SENTINEL, Jean-Yves Duperron
Le jeune violoniste français, Virgil Boutellis-Taft, qui est décrit par les critiques comme un « violoniste exceptionnel », est de cette trempe…
OPUS KLASSIEK, Aart van der Wal
Des contrastes qui témoignent également de la musicalité intense du protagoniste: le jeune violoniste français Virgil Boutellis-Taft, qui avec son jeu évocateur ouvre un véritable monde d’émerveillement qui fait forte impression. Nous avons affaire à un soliste qui ne fait pas étalage, mais met l’intelligence et la technique entièrement au service de la musique, soigneusement assistée par Van Steen avec le célèbre Royal Philharmonic Orchestra… L’enregistrement réalisé au Henry Wood Hall de Londres satisfait toutes les attentes…
L’éducation musicale, Edith Weber
D’entrée de jeu, ils [Virgil Boutellis-Taft et Guillaume Vincent] s’imposent par leur écoute réciproque et la fulgurance de leurs traits dans « The Crane » dont ils ressentent parfaitement l’âpreté et recréent l’indicible émotion. Ils interprètent avec infiniment de sensibilité, de virtuosité, de justesse de tempo et de sonorités remarquables ce programme hors du commun qui représente un magnifique parcours totalisant un siècle « entre Orient et Occident »…
ON Mag, Michel Jakubowicz
Le violoniste Virgil Boutellis-Taft allie à une sonorité impeccable, une virtuosité impressionnante se jouant de toutes les difficultés s’additionnant sans limites dans ces partitions…. Bref, un voyage fort réussi entre Orient et Occident !
CLASSICA, Jacques Bonnaire
La personnalité de Virgil Boutellis-Taft est intéressante. Jolie sonorité, belle imagination dans le jeu des timbres, et grande précision, qui n’exclut pas une expressivité prenante, en particulier dans les pièces « orientales » mais aussi chez Debussy…
LE BABILLARD, Loïc Chahine
Son intense, brillant, somptueux sur toute la tessiture du violon de Virgil Boutellis-Taft, très « dans la corde », magnifié par un archet très sûr… Ecoutons l’ « Intermède » de la Sonate pour violon et piano de Debussy : quelle évidence ! On a l’impression que cet aimable divertissement, élégant et raffiné, naît de lui-même, comme si les deux interprètes étaient un peu chacun Debussy lui-même. Il n’est pas une phrase qui n’ait l’air parfaitement à sa place, jouée exactement comme il faudrait… Qu’on écoute encore la Sonate de Janacek : tout y est, le lyrisme brûlant, mais sans épanchement pathétique superflu, la puissance quasi démiurgique de l’inspiration sans l’impression de démonstration, la précision sans la froideur. Et pourtant, ce n’est pas une œuvre facile à écouter, dans son intense concentration… L’ensemble du disque s’écoute avec des sentiments qui vont du plaisir simple à l’enthousiasme – un disque qui atteint, en ses meilleurs moments, une incandescente intensité…
Ouest-France, Daniel MORVAN
La preuve par l’archet qu’on peut tirer des sensations fortes de Jean-Sebastien Bach…
Classique News, Sabino Pena Arcia
Boutellis-Taft l’interprète [Bloch] avec une forte vigueur… des effets sonores impressionnants… Lors de la Sonate de Janacek… il régale l’auditoire avec une dextérité, un entrain, et aussi une grande sensibilité… dans la Sonate de Debussy… le violon est insolent et exotique… un jeu finement nuancé, avec des vifs éclats d’humour et virtuosité… dans le Poème de Chausson Virgil Boutellis-Taft offre une prestation spectaculaire… une sensibilité exquise lors des passages mélancoliques et un brio resplendissant pour des moments d’une passionnante intensité… Dans Bartok [il] est enflammé ; son approche est… dramatique, langoureuse et piquante à la fois… les musiciens en s’enflammant, ils enflamment le public également…
ResMusica, Héloïse B. Oléari
C’est avec beaucoup de brio qu’il s’est prêté au jeu – aisance d’archet, main gauche impeccable et intelligence musicale à l’appui…on ne peut que saluer, outre le professionnalisme du violoniste, sa fabuleuse énergie qui nous a tenu en haleine d’un bout à l’autre…
L’Alsace
Un public subjugué et ravi… Musique lumineuse et solaire servie par un violoniste au tempérament de feu, à l’archet intense, aux couleurs chatoyantes, au violon admirable de transparence… rayonnants de passion… révélations exceptionnelles.
Vraiment le lyrisme slave y a trouvé son compte !